Genève, fin août 2025

L'avis des  candidats aux questions qui nous tiennent au coeur !

Chers ami-es de Noé21.

Pour l'élection complémentaire du 28 septembre nous avons soumis un petit sondage aux candidat-es.

Même si nous ne partageons pas l'avis de tous les candidat-es, nous apprécions la qualité de leurs réponses.

Pour Noe21 le candidat préféré est Nicolas Walder, mais nous vous laissons juger vous-même. L'important c'est d'aller voter. Il y a des sujets avec un très grand impact. Et cette élection est cruciale !

 

Sommaire :

Le sondage
Alternatiba 2025
Décharge au Tattes-de-Bogis (VD)
Energy Fundamentals of Carbon Removal

Le sondage

 

Les Candidat-es contacté-es

AV :  Anastasia-Natalia  VENTOURI (ENSEMBLE POUR L'EVOLUTION)

LD :  Lionel DUGERDIL (UDC)

NW :  Nicolas WALDER (Les Vert-e-s - Les Socialistes)

RB :  Rémi BAUDOUI (GENEVE . PEUT FAIRE MIEUX)

RP :  Rémy PAGANI (Union Populaire)

BB  :  Béatrice BERTHET A PORTA (LOCAL, bien sûr ! What else !)

OP :  Olivier PAHUD (EVOLUTION SUISSE)

MG :  Maikl GERZNER (MCG - Mouvement Citoyen Geneve)

 

Les candidats suivants n’ont pas répondu à notre questionnaire

XM :  Xavier MAGNIN (Le Centre - Les Vert'libéraux)

PO :  Philippe OBERSON (Le Peuple d'Abord)

1) Êtes-vous favorable à la relance du nucléaire en Suisse ?

AV  :  Non. Le nucléaire est trop coûteux, trop lent et trop dangereux. Il détourne les investissements des vraies solutions :  les énergies renouvelables, locales, modulables. Le XXIe siècle doit être celui de l’intelligence énergétique, pas de la dépendance technocratique.

LD  :  Je suis favorable à une telle relance dans la mesure où les besoins en électricité croissent, d’une part avec l’augmentation démographique, et d’autre part avec un parc automobile électrique en développement. Même avec une politique volontariste, les renouvelables ne combleront pas les besoins, ce qui entraînera une hausse des coûts et un recours accru aux importations, chose périlleuse comme nous avons pu le constater avec la guerre en Ukraine. Compte tenu des délais nécessaires à la construction de nouvelles centrales nucléaires, il est évident que nous devons lancer les réflexions au plus vite afin de répondre rapidement à l’augmentation de la consommation. Il serait hypocrite de ne rien faire chez nous et d’importer du courant nucléaire ou produit à base d’énergies fossiles pour nous donner bonne conscience.

NW  :  NON

RB   :  Non

RP  :  Non je suis un opposant de longue date au nucléaire et j'ai même participé à la fermeture de la centrale nucléaire de Mühleberg avec l'aide financière du Conseil Municipal.

BB  :  Non actuellement. Cependant s’intéresser au thorium moins polluant, moins cher, plus disponible et moins complexe à extraire et éliminer. Pourquoi pas dans ce cas si cela peut aider à la transition énergétique. Surtout ce qui me fait peur est qu’on réhabilite le nucléaire dans l’urgence et de manière peu sécure. La recherche dans ce domaine doit être poursuivie, cela me parait primordiale, afin de nous assurer une autonomie énergétique en cas de pénurie éventuelle.

OP :   Le nucléaire a été abandonné et il semble peu probable de pouvoir le relancer dans ce pays. Les importations de courant provenant du nucléaire sont évidemment le palliatif un peu trop facile. D'autre part, les déchets issus du nucléaire restent un problème irrésolu dans lequel le politique doit investir sérieusement et avec persévérance afin de trouver des solutions durables aux volumes déjà produits.

MG :  Oui, je suis favorable à ce que la Suisse se redonne les moyens de son indépendance énergétique. Le nucléaire, avec les nouvelles générations de centrales, est une énergie fiable, stable et bas-carbone. Nous ne pouvons pas dépendre uniquement de l’étranger pour notre électricité, surtout en hiver. Relancer le nucléaire est une question de sécurité pour les Genevois et pour toute la Suisse.

2) Jugez-vous la politique de sobriété énergétique du canton suffisante ?

AV  :  Non. La sobriété ne peut pas être un slogan déconnecté de la réalité sociale. Elle doit s’accompagner d’une rénovation massive des bâtiments publics, d’un plan clair contre le gaspillage énergétique, et d’un soutien aux ménages qui subissent la précarité énergétique.

LD  :  La sobriété est une composante essentielle de notre gestion énergétique. Nous n’avons pas besoin de produire, respectivement d’importer, ce que nous ne consommons pas. Cela dit, il faut tenir compte des moyens disponibles, notamment financiers. Il me semble que l’action du canton parvient à concilier ces deux impératifs et je suis favorable à la poursuite des efforts entrepris. D’une manière générale, je suis favorable aux incitations susceptibles de rallier le public à la sobriété énergétique plutôt qu’à une politique faite de contraintes légales qui rebutent facilement les personnes concernées.

NW  :  NON. Il y a encore une grande marge de progression en la matière sachant que le gaspillage représente toujours 20 à 30 % de notre consommation. Certains programmes comme Eco 21 des SIG devraient faire l’objet d’un véritable cadre légal contraignant.  

RB   :  certainement pas en raison du bétonnage intensif.

RP  :  Insuffisante. La politique du canton pourrait être exemplaire notamment en aidant toutes les communes et surtout les petites à isoler rapidement tous leurs bâtiments par une programmation sur 5 ans.

BB  :  Non, je pense qu’il faut sensibiliser et rendre les habitants acteurs. Le recours abusif au greenwashing décrédibilise les actions et divise et c’est contre-productif.

OP :  Le Canton de Genève a une politique énergétique pragmatique et orientée sur le long terme que j'apprécie. Toutefois, on peut toujours mieux faire, et dans ce sens je ne compte pas sur les politiques mais sur les acteurs industriels et associatifs pour explorer les pistes à appliquer. Je compte également dans ce sens favoriser l'innovation par le lancement de concours à large échelle, aussi bien pour une production propre que pour une consommation sobre. L'énergie est un débat d'importance qui ne doit pas être minimisé.

MG :  Non, elle reste très théorique et moralisatrice. Il ne suffit pas de culpabiliser les citoyens et les entreprises : il faut des mesures concrètes et réalistes. La sobriété ne doit pas être synonyme de privations, mais d’efficacité énergétique, d’innovations technologiques et d’un meilleur encadrement des gros consommateurs.

3) Le canton doit-il augmenter ses efforts de développement des énergies solaires et éoliennes ?

AV  :  Oui, absolument. Genève doit se moderniser. Le solaire est sous-exploité, et les résistances locales à l’éolien doivent être levées avec transparence, pédagogie et concertation. Il faut penser à des infrastructures hybrides (toitures, routes, barrières) comme cela se fait déjà en Allemagne et en Asie.

LD  :  Nous devons travailler à développer tout type de production afin de gagner en autonomie et réduire notre dépendance aux importations. Il faut cependant constater que nous ne pouvons le faire qu’avec l’aval d’autres cantons, compte tenu de l’exiguïté de notre territoire et de son aspect fortement urbanisé. Cela ne peut se faire qu’en concertation régionale voire nationale. Il appartient à la conférence des chefs de départements de l’énergie, à nos représentants à Berne, de faire ce travail.

NW  :  OUI. Afin de répondre aux besoins croissants, il faudra aussi en parallèle soutenir les entreprises et les formations en lien avec les métiers de la durabilité, indispensables à la transition écologique.

RB   :  Bien entendu pour ce qui est du solaire.

RP  :  Le canton fait déjà des efforts importants dans ces domaines qui rapportent de l'argent à terme mais on l'attends sur des questions mon productive d'argent: l'isolation des bâtiments avec un programme sur 5 ans par exemple et sur la lutte contre les vols de moins de 1000 kilomètres à l'aéroport de Genève et la taxe sur le kérosène.

BB :  oui

OP :  Au niveau des particuliers, des efforts peuvent être faits ; d'une manière plus globale, le canton a une disponibilité limitée pour augmenter sa production solaire ou éolienne. Des installations solaires et des solutions éoliennes de petites tailles pourraient contribuer à une meilleure sobriété tout en offrant une certaine indépendance énergétique aux particuliers.

MG :  Oui, absolument. Genève doit exploiter davantage ses toitures, ses friches industrielles et ses infrastructures publiques pour développer le solaire. En revanche, l’éolien doit être étudié au cas par cas : nous devons éviter les projets déconnectés des réalités locales ou destructeurs pour nos paysages et notre qualité de vie.

4) Êtes-vous favorable à la réduction du nombre de vols à Cointrin ?

AV  :  Oui, à condition d’offrir des alternatives sérieuses. La Chine relie Shanghai à son aéroport à 430 km/h grâce au train magnétique. Le Japon prévoit une liaison Tokyo–Nagoya à 500–600 km/h.
Et Genève ? Encore à l’ère des correspondances à Lausanne. Réduire les vols sans investir dans des trains à très grande vitesse, c’est pénaliser sans construire. Je suis pour l’évolution, pas pour le blocage.

LD  :  Je comprends le désir des riverains de limiter les nuisances, mais je ne suis pas favorable à une éventuelle réduction. Nous travaillons à développer notre canton et à résoudre les défis engendrés par l’augmentation démographique qui caractérise notre pays en général et Genève en particulier. Une population en croissance signifie un recours accru aux infrastructures, notamment aéroportuaires. Vouloir accueillir des nouveaux venus tout en limitant l’offre de services me semble pour le moins contradictoire.

NW  :  OUI. Un aéroport avec 10 à 12 millions de passagers annuellement serait à mon avis pleinement suffisant pour répondre efficacement aux besoins des habitant.e.s et de la Genève internationale.

RB   :  Pour la réduction drastique des vols en particulier les low cost.

RP  :  Oui notamment les vols de moins de mille kilomètres.

BB  :  Oh ouiiiiii !

OP :  Réduire le nombre de vols pour augmenter la taille des avions ne me semble pas une solution visionnaire. En revanche, trouver les moyens de réduire les vols d'affaires, voire les vols charter et encadrer les nouvelles lignes autorisées semblent être imaginable dans le cadre du mandat pour lequel il est postulé.

MG :  Non. Cointrin est vital pour l’économie genevoise, pour l’emploi et pour l’ouverture internationale de notre canton. Réduire les vols reviendrait à isoler Genève. En revanche, nous devons investir dans des technologies plus propres, dans une meilleure gestion du trafic aérien et dans le développement de carburants alternatifs.

5) Pensez-vous pouvoir faire respecter l'interdiction des vols de nuit ?

AV  :  Oui, mais il faut d’abord redéfinir ce qu’est un vol nocturne. 20h n’est pas la nuit. L’interdiction doit se baser sur le bruit réel, l’impact sanitaire et l’intérêt collectif. Le vrai progrès réside dans le développement d’une aviation propre. Des avions sans kérosène existent déjà : c’est là que nous devons investir.

LD  :  La question ne se pose pas ainsi. Dès lors que l’interdiction est prononcée, elle doit être respectée. On ne légifère pas dans le vide, lois et règlements doivent être appliqués. Il faut prendre le temps de la réflexion lorsqu’il s’agit de décider de telles mesures, mais une fois la décision prise, on applique. Une mise en œuvre aléatoire ruine la confiance que la population doit avoir en ses autorités.

NW  :  J’y travaillerai car le canton a clairement les compétences pour faire respecter cette interdiction, compétences qui sont encadrées par l’Ordonnance sur l’infrastructure aéronautique (OSIA) et par la fiche PSIA. Je suis bien sûr conscient que cela relève d’une volonté politique du collège gouvernemental et non d’un seul Conseiller d’État. Mais j’entends travailler à l’établissement d’une convention claire et chiffrée engageant l’aéroport vers une baisse des vols de nuits. Cela doit être accompagné de sanctions mais aussi d’incitations, par exemple avec l’instauration de barèmes tarifaires différenciés.

RB   :  Nécessité pour les riverains de faire respecter l' interdiction des vols de nuit.

RP  :  Oui en soutenant résolument les habitants qui se battent avec acharnement et depuis très longtemps contre ces vols de nuit.

BB  :  Oui

OP :  Les horaires des atterrissages ont déjà été étendu... Genève a cette tradition de ne pas autoriser les vols de nuit et cela doit perdurer durablement.

MG :  Oui, cette interdiction doit être respectée strictement. Le repos des riverains est une priorité. Le canton doit travailler avec l’aéroport et les compagnies aériennes pour s’assurer que les règles ne soient pas contournées.

6) Le canton peut-il jouer un rôle dans la taxation internationale du kérosène ?

AV  :  Oui, par sa capacité d’initiative diplomatique. Genève est le centre mondial du multilatéralisme. Elle doit porter des propositions ambitieuses et crédibles. Mais d’abord, soyons exemplaires localement : pourquoi ne pas équiper nos autoroutes de panneaux photovoltaïques absorbant le CO₂, comme en Asie ? Il est temps d’assumer notre responsabilité climatique.

LD  :  C’est une volonté très genevoise de vouloir peser sur les affaires du monde. Nous pouvons travailler au niveau international par le biais de nos représentants au sein des instances nationales et internationales concernées. Il serait dangereux de vouloir faire cavalier seul, de se prétendre bon élève, car cela se ferait au détriment de l’attractivité de l’aéroport, pièce essentielle au niveau économique et diplomatique.

NW  :  Indirectement OUI Il s’agit clairement d’une compétence fédérale et les chambres ont malheureusement refusé notre proposition en ce sens. Le canton peut toutefois offrir un soutien financier, symbolique et politique aux ONGs engagées pour cette cause et servir ainsi de « caisse de résonnance » pour cette nécessaire et juste proposition.

RB   :  Si possible.

RP  :  Oui notamment par le droit d'initiative fédérale qui n'a jamais été employée pour déjà engager un débat national.

BB  :  Oui en tant qu’influenceur politique sur L'OFAC. C'est la Confédération qui est compétente (Par adaptation de la législation aéronautique et fiscal dans le cadre légal existant). Le canton peut utiliser les canaux des organisations internationales pour faire avancer un projet de taxation internationale une fois de plus.

OP :  Je ne pense pas que le canton ait un véritable levier pour résoudre la problématique des taxes sur le kérosène pour l’aviation ; en revanche, elle a un devoir d'explorer des pistes avec les industries et les associations et de les présenter largement au niveau international.

MG :  Le canton, seul, ne peut pas imposer une telle taxation. Mais Genève, en tant que centre diplomatique mondial, peut jouer un rôle moteur en mettant ce sujet sur la table auprès des instances internationales, comme l’ONU ou l’OACI.

7) Considérez-vous le projet de Futur Collisionneur Circulaire du CERN FCC responsable du point de vue de son impact climatique, de son impact sur la transition énergétique et de son impact sur nos territoires et leurs populations ?

AV  :  Non. Ce projet est technologiquement impressionnant mais climatiquement irresponsable. Son empreinte énergétique et foncière est démesurée par rapport aux priorités actuelles. Ce type de méga-infrastructure doit être suspendu tant que la transition énergétique réelle n’est pas assurée.

LD  :  L’impact de l’infrastructure envisagée sera important dans les domaines que vous citez, il ne faut pas le nier. J’aimerais ajouter la question de la gestion des déchets de chantier dans un canton qui ne sait déjà plus où stocker les gravats. Je ne juge donc pas ce projet responsable.

NW  :  Je considère qu’il est sain d’exiger du CERN une approche mesurée et basée sur un équilibre des moyens vs les objectifs. Ce projet est très critiqué et dès lors doit prouver que chaque kW/h engagé est pertinent. C’est à cette aune que je jugerai s’il est opportun et responsable. Même si je soutiens pleinement l’existence du CERN, sa présence dans la région du Léman et la nécessité d’approcher la recherche de manière collective à travers des institutions multilatérales, cette institution doit comme tout le monde envisager ses projets dans une perspective de sobriété et de préservation de la biodiversité. Par ailleurs, il est normal d’exiger une étude complète sur les potentiels effets sur la région de tous leurs projets yc du futur Collisionneur Circulaire.

RB   :  Totalement irresponsable à tous égards.

RP  :  Je me suis déjà déclaré publiquement contre ce gigantesque instrument producteur de CO2 comme d'ailleurs la nouvelle patinoire du Trèfle-Blanc à 400 millions.

BB  :  Non d’un point de vue climatique transition écologique. Devons-nous laisser ce projet à la Chine seule ? A l’heure où les projets impliquants pratiquement tous les pays du monde deviennent rares et difficiles à mettre en oeuvre, c’est une opportunité de multilatéralisme qui serait bienvenue au niveau de l’organisation des Nations Unies. La recherche scientifique doit être soutenue et engendre des avancées pour la société en général. Les retombées économiques ainsi que les risques devraient pouvoir être analyser par le canton qui doit être consulté à toutes les étapes du projet.

OP :  Je suis contre le FCC, usine à gaz dont l'utilité reste à démontrer.

MG :  Le CERN est une institution scientifique majeure pour Genève et pour le monde. Le projet FCC doit être encadré avec la plus grande transparence. Si des garanties sont données sur son efficacité énergétique, son impact maîtrisé et ses retombées pour la région, alors il peut être soutenu. Mais nous resterons vigilants pour que les citoyens ne paient pas le prix écologique et financier de ce projet.

8)  Quels types de responsabilités avez-vous déjà assumées dans le monde professionnel, associatif et politique ?

AV  :  Pharmacienne diplômée, j’ai dirigé une pharmacie indépendante à Genève. Je suis présidente de l’association Voix de l’Enfant, engagée dans la défense des droits fondamentaux et la justice sociale. Candidate issue de la société civile, je défends une vision moderne, juste et pragmatique de l’action publique.

LD  :  J’ai été pompier professionnel pendant six années. Je co-dirige un domaine agricole-viticole avec mon épouse. J’ai été très engagé dans le club de judo de ma commune, que j’ai présidé pendant plusieurs années.

NW  :  Au CICR  :  Expatrié en missions (Somalie, Palestine, Ex-Yougoslavie, Nord et Sud-Caucase,…) et formateur au siège (1991-2006). Directeur Genèveroule (promotion vélos et intégration requérants d’asile et personnes en recherche d’emplois) - 2007-2012. Conseiller administratif Ville de Carouge (2011-2020). Président Vert.e.s genevois.e.s (2016-2020). Conseiller national dès 2019. Vice-président Vert.e.s suisses dès 2020.

RB   :  Cela demande un grand développement.  Responsabilités administratives publiques ; multiples en tant que professeur d'université, responsable de laboratoire de recherche etc. Directeur de l'Institut d’Architecture et autres institutions ....

RP  :  Maire 13,5 années. Député 19 années. Conseiller municipal 2 mois, syndicaliste 20 ans, assistant social 10 ans, membre de nombreuses associations notamment APAG au Grottes et l'association des habitants de la Jonction.

BB  :  Présidente de l’association des commerçants de Carouge (250 membres) 12 ans. Représentante du commerce de proximité local au DEE durant les deux années covid 2020-2022. (Séance hebdomadaire et plus espacée jusqu'à en 2023,) Cela fait 25 ans que je suis dans l’associatif. Entrepreneure, styliste modéliste, j’ai deux boutiques, dont un atelier-boutique à Carouge.

OP :  J'ai été et je suis encore président ou membre du comité de plusieurs associations, dans les domaines de l'éducation, des droits politiques, de l'habitat léger. Je suis multi entrepreneur depuis 30 ans avec la création de plusieurs entreprises employant du personnel. Je suis l'initiateur d'assemblées citoyennes, 18 à ce jour.

MG :  En tant qu’avocat indépendant à Genève, j’ai créé et dirige mon propre cabinet, ce qui m’amène à assumer l’ensemble des responsabilités liées à une entreprise : gestion organisationnelle et financière, accompagnement juridique des clients, élaboration de stratégies et prise de décision rapide dans des situations complexes. Cette expérience m’a permis de développer une solide capacité de décision et un sens aigu de la défense des intérêts d’autrui. Sur le plan politique, mon engagement au MCG m’amène à la défense des Genevoises et des Genevois face aux dérives bureaucratiques et aux décisions prises qui vont à l’encontre de notre canton.

Alternatiba 2025

 

 

Du lundi 1er au vendredi 5 septembre :
cinq soirées thématiques.

 

Nous vous recommandons plus particulièrement :

  • Lundi 1er septembre à 19h Salle MS150 à Uni Mail :

« Le Futur accélérateur du CERN en collision avec la démocratie :
Saccager la Nature pour en sonder l’origine »

Avec entre autres : Jean Bernard Billeter, membre du comité et spécialiste CERN et Delphine Klopfenstein Broggini membre du comité d'honneur de Noé21.

 

  • Jeudi 4 septembre à 18h30 salle MS150 à Uni Mail :

« Décroissances : choisir ou subir ?  L’humanité face aux limites planétaires »

Avec 5 ateliers et table ronde.  Dès 20h45 table ronde avec notre coprésidente Mathilde Captyn.

 

  • Samedi 6 septembre  10 à 18h Village des alternatives au parc des Bastions.

Venez nous rencontrer dans le secteur « Biodiversité et agriculture ». 

Détails ici: https://alternatibaleman.org/evenements-de-la-semaine-2025/

Décharge au Tattes-de-Bogis (VD) : Cri au secours de notre co-présidente

Le canton de Vaud s’apprête à détruire un site naturel de première qualité, un corridor pour la faune situé au bord de la Versoix à un endroit bucolique. Ici vous trouvez un article de presse :

https://www.versoix-region.ch/index.php?obj=10005 

Et ici une vidéo magnifique :

https://vimeo.com/1074700444?share=copy#t=0

Et ici vous trouvez le mode d’emploi pour réagir auprès de l’administration cantonale vaudoise. Merci de participer, même si ça prend un peu de temps. Noé21 prendra position également.

https://www.ecolaversoix.ch/statut-du-projet

​​​​Voici l'adresse pour l'envoi de votre prise de position :
​Direction générale du territoire et du logement (DGTL)
Avenue de l’Université 5
1014 Lausanne

Energy Fundamentals of Carbon Removal

(dossier technique en anglais)

 

 

 

Une méthode électrochimique surprenante. Si vous comprenez, faites nous signe  !

https://climate.benjames.io/energy-carbon-removal/

Merci pour votre attention, prennez soin de vous, de vos proches et de notre nature commune.

 

Félix Dalang, trésorier

Philippe de Rougemont, coordinateur

Sylvia Leuenberger, coprésidente

Mathilde Captyn, coprésidente