Un débat politique de haut niveau avec un ancien chef d'État, ministres, scientifiques et décideurs politiques est organisé par l'Institute for Rational Addiction Policies sur le futur des politiques drogues dans l'UE.
Où et quand : mardi 18 mars 2025 de 10h30 à 15h00, au Radisson Red, Bruxelles.
Le GT Genres de la féda bxl invite les travailleur·euse·s, les usager·e·s du secteur assuétudes et précarité et allié·e·s de nos luttes à se mobiliser et à se rendre ensemble à la manifestation bruxelloise dans le cadre de la journée internationale de lutte pour le droits des femmes* et personnes sexisées.
Nous vous fixons rendez-vous le 𝘀𝗮𝗺𝗲𝗱𝗶 𝟴 𝗺𝗮𝗿𝘀 𝗮̀ 𝟭𝟰𝗵𝟯𝟬 à la fontaine à eau, en haut du Mont des Arts (proche KBR museum et palais de Coudenberg), pour faire bloc commun avant le départ de la manifestation.
Le SPF Santé publique organise un webinaire, le 12 mars de 10h à 12h au sujet de la Loi du 16 mai 2024 modifiant la loi du 26 juin 1990 relative à la protection de la personne des malades mentaux, de l'admission forcée à la mesure d'observation protectrice. Quels changements et adaptations ?
High-level policy debate with former head of state and ministers, scientists and policy makers : Is the EU on the Right Track? Brussels, 18th March 2025, Radisson RED Brussels, 10:30 – 15:00
SOS ADDICTIONS présente le 9ème e-congrès national sur les addictions pour les professionnels de santé, le 19 mars 2025, intitulé "Mieux repérer, mieux réduire les risques, mieux accompagner".
Le Réseau Nomade, en collaboration avec le Collectif Formation Société - ep et Casi-Uo, propose une projection suivie d'un débat, mercredi 19 mars 2025 à 19h, de « Au suivant ! Le travail social sous tension »
Le Réseau Nomade et le CFS organisent en collaboration une rencontre autour de la rémunération des dispositifs participatif le 20/03/2025 de 14.30 à 17.30.
Le Conservatoire national des arts et métiers (Cnam) organise un webinaire sur Les limites de la lutte contre le trafic international de stupéfiants, mardi 25 mars à 14h (heure de Paris).
Pianofabriek Rue du Fort, 35, Saint-Gilles, Belgique
Question Santé organise une journée de réflexion autour du genre et de sa prise en compte dans les pratiques professionnelles du secteur social-santé, vendredi 4 avril 2025.
Une projection du film de Nora Fingscheidt "The Outrun", suivie d'un débat avec plusieurs intervenant·e·s de notre secteur, se tiendra mercredi 9 avril à 18h30 au Cinéma Palace à Bruxelles. L'histoire est basée sur le livre autobiographique d’Amy Liptrot qui aborde avec force et sensibilité le combat contre l’addiction à l’alcool et le chemin vers la reconstruction.
Suivez ce webinaire de l'IDPC, mardi 22 avril 2025 de 14h à 15h30, pour une session de débriefing sur la 68e session de la Commission des Stupéfiants des Nations Unies (CND) afin de discuter des avancées, des blocages et des perspectives d’évolution du régime onusien de contrôle des drogues.
Novotel Paris Tour Eiffel Quai de Grenelle 61, Paris, France
La 19ème Congrès international d'addictologie de l'ALBATROS se tiendra du 10 au 12 juin 2025, au Novotel Tour Eiffel à Paris. Cette nouvelle édition s'intéressera à la thématique " Addictions & environnement : on a changé de climat ! ".
Le congrès sera précédé du 2ème Forum sur la Réduction des risques, organisé le 10 juin matin.
Premier afterwork de la saison : nous vous attendons le jeudi 20 mars à partir de 17h30 à l'Ambu Forest.
➡️ Attention, cette année, pour faciliter l’organisation, nous vous demandons de bien vouloir vous inscrire préalablement pour participer à ces rencontres.
Le projet PAT du Smes propose une journée d’introduction à la pair-aidance le 18 mars 2025 de 9h30 à 16h. Cette sensibilisation s’adresse à tout·e travailleur·se social·e de première ligne ou toute personne désireuse de se sensibiliser aux enjeux liés à la pair-aidance.
La fédération Bico propose une formation le 21 et 28 mars 2025 de 9h à 16h sur le thème de la prévention et de la gestion de l'agressivité verbale des bénéficiaires ou usagers.
Dans le cadre des plans wallons et bruxellois de prévention et de gestion du tabagisme/vape, le FARES propose un webinaire en tabacologie, samedi 22 mars 2025 de 9h00 à 11h00, intitulé : "Je ne sais plus comment l'aider à arrêter ! Comment accompagner l'arrêt du tabac d'un proche de manière efficace et bienveillante".
Dans le cadre des plans wallons et bruxellois de prévention et de gestion du tabagisme/vape, le FARES propose un webinaire en tabacologie, jeudi 27 mars 2025 de 12h00 à 13h30, intitulé : "Aborder le tabac et la nicotine avec les jeunes : des projets qui ne manquent pas d'air !".
Dans le cadre des plans wallons et bruxellois de prévention et de gestion du tabagisme/vape, le FARES propose un webinaire en tabacologie, jeudi 27 mars de 18h à 20h, intitulé : "Les interventions pharmacologiques d’aide au sevrage tabagique".
L'AMA propose une formation, les 1er et 15 avril entre 9h30 et 16h30, dans ses locaux à Bruxelles sur la Prévention du stress vicariant qui peut toucher les travailleurs sociaux.
L’ASBL Infirmiers de Rue organise une formation sur l’hygiène et la précarité, destinée aux professionnel·les de la santé, aux travailleur·euses sociaux·ales et à toute personne accompagnant des publics en situation de vulnérabilité, les 3 et 17 avril 2025.
Dans le cadre des plans wallons et bruxellois de prévention et de gestion du tabagisme/vape, le FARES propose un webinaire en tabacologie, jeudi 10 avril 2025 de 18h00 à 20h00, intitulé : "Traiter l'addiction au tabac avec les TCC".
La « loi drogues » belge ce 24 février ses cent-quatre ans ! À quand une approche plus efficace pour protéger la santé publique et pour lutter contre les réseaux criminels ? #dépénalisation #légalisation #rdr #soin #supportdontpunish
« Personne ne nourrit l’illusion d’un monde sans substances psychoactives, mais il est possible de construire une société où la politique en matière de drogues est pragmatique, humaine et permet un meilleur contrôle du phénomène. Non au modèle dominant et destructeur de la répression, oui à des approches alternatives basées sur une perspective de santé publique. »
La visibilité de la vente et de la consommation de drogues dans les grandes villes est aujourd’hui patente. Chaque jour ou presque la presse s’en fait l’écho : vente dans le métro, fusillades, règlements de compte, arrestations, mobilisation, impuissance, appels citoyens, armes de guerre, réactions politiques… Il n’est pas difficile de comprendre que nos responsables politiques sont dépassés et leur logiciel actuel ne peut que mettre en œuvre des actions au mieux peu efficaces, au pire contre-productives. Explications dans cette carte blanche d’Infor Drogues & Addictions, publiée le 13 février 2025.
« Parcours·UD » est une étude des besoins en accompagnement et des parcours de soins des personnes ayant des troubles liés à des usages de substances en région bruxelloise ». Ce rapport présente les résultats d’une étude commanditée par la Plateforme Bruxelloise pour la Santé Mentale et réalisée par Mégane Chantry et Pablo Nicaise à l’Institut de Recherche Santé et Société (IRSS) de l’UCLouvain.
La consommation d’alcool est largement répandue dans notre société et entraîne des problèmes de santé importants. L’accès à des soins spécialisés peut favoriser la réduction des risques et améliorer la prise en charge des personnes ayant des problèmes de l’usage d’alcool. Cependant, cet accès reste limité et il existe un grand « treatment gap ». Dans un nouvel avis, le Conseil Supérieur de la Santé souligne l’importance de la reconnaissance des experts dans la prise en charge des personnes ayant des problèmes liés à l’alcool et/ou à d’autres substances.
Plongez dans Drugs and the City : un podcast de Prospective Jeunesse asbl qui propose une autre perception des addictions ! Il va bien au-delà du produit, explorant une approche axée sur le bien-être.
Le service namurois SALMA (NES asbl), dédié au soutien et à l’accompagnement des mamans consommatrices, propose un podcast intitulé « Les Stupéfiantes ». Dans ce podcast, parole est donnée à des mamans accompagnées par le service, des femmes, des mères qui vivent ou ont vécu avec une consommation d’alcool et de drogues.
Barricade asbl publie une analyse de Sarah Fautré intitulée « NARCO PLANÈTE ». Partie 1 : Petite histoire des drogues et de leur économie. Partie 2 : Pour ne pas tirer sur les ambulances, ni sur les salles de consommation à moindre risque.
Les récentes fusillades qui ont eu lieu à Bruxelles ont un point commun : la drogue et la guerre de territoires que se livrent les bandes criminelles pour pouvoir la vendre. Dans cette vidéo du Soir, la commissaire nationale aux drogues, Ine Van Wymersch, explique comment fonctionne le milieu de la drogue à Bruxelles, depuis le port d’Anvers jusque dans les stations de métro de la capitale.
Ine Van Wymersch, commissaire nationale aux drogues : « Les streets deals, la vente dans les quartiers, en rue, les ventes visibles se font majoritairement par de la main d’œuvre « jetable ». (…) Ce sont soit des jeunes mineurs du quartier qui n’ont plus rien à perdre, des jeunes en décrochage scolaire depuis des années et qui n’ont pas de projet d’avenir. Mais aussi des gens sans-papiers ou sans abris ou dans une situation vulnérable et précaire. (…) Ce ne sont pas des gens qui gagnent beaucoup d’argent avec les stupéfiants. (…) Ceux qui risquent leur vie chaque jour, sur les coins de rue, sur les points de vente, ce sont des gens qui n’ont rien à perdre et qui sont en décrochage total de la société. »
Alors que les violences liées au trafic de drogue à Bruxelles ont fait la une ces dernières semaines, et que [le] rendez-vous #L’enquête [du JT de la RTBF] a révélé que des écoles wallonnes tirent la sonnette d’alarme car elles se retrouvent en plein point de deal et de trafic. Certaines luttant pour que la drogue n’entre pas dans les murs des établissements. [La RTBF a] appris que le projet pilote de prévention et de prise en charge des assuétudes (addictions à l’égard d’une substance toxique, ndlr) en milieu scolaire n’avait pas été reconduit par la Fédération Wallonie-Bruxelles. Une décision qui s’explique, selon le politique [cabinet de Valérie Glatigny, MR], par de mauvais résultats du projet. Les acteurs de terrain demandent, eux, un plan d’action rapide axé sur la prévention.
“On reproduit toujours les mêmes discours : il faut plus de policiers, mais le constat est que cette solution est un échec”, lance Luc Hennart, président honoraire du Tribunal de Première instance de Bruxelles sur BX1.
Pour lui, il faut changer la manière d’aborder le problème et privilégier la piste de la dépénalisation des stupéfiants. “Il ne faut pas oublier qu’il y a plus d’un million de Belges qui consomment des stupéfiants. C’est un problème de santé publique dont il faut se saisir”, affirme-t-il.
Antoine Boucher, porte-parole d’Infor Drogues & Addictions était l’invité de l’émission de BX1, « Il y a du Neuf « . À la question « La réponse sécuritaire est-elle la seule réponse?« , Antoine Boucher appel à sortir du moralisme et ouvrir un débat pragmatique sur la question de la gestion du phénomène qui entoure le trafic et la consommation de drogues. « L’interdit ne fonctionnera jamais ». Il faut envisager de réguler les substances pour reprendre le contrôle, affaiblir les réseaux organisés, favoriser la prévention et la santé publique.
A peine installé, le tout nouveau gouvernement fédéral s’attèle à lutter contre le trafic de drogues. Pour cela, l’Arizona prévoit aussi de sanctionner davantage les consommateurs. Or, les mesures répressives ont très peu d’effets. (…) «s’attaquer aux consommateurs dans l’intention de limiter le trafic et la criminalité n’est pas une bonne stratégie», affirme Pablo Nicaise. D’autant plus que les mesures répressives éloignent les [personnes dépendantes] de l’accès aux soins.(…) Pour limiter la consommation, le meilleur moyen reste la prévention. La Féda bxl regrette le manque de moyen alloué au secteur: «Seulement 1% du budget pour la lutte contre la drogue est alloué à la prévention», déplore Stéphane Leclerq.
Dans le cadre de sa nouvelle stratégie anti-drogue, le procureur du roi de Bruxelles, Julien Moinil, a présenté douze mesures visant à lutter contre le trafic de stupéfiants. Parmi celles-ci figure l’instauration de perceptions immédiates pour les consommateurs de drogues dites « récréatives ». Cette disposition, également inscrite dans l’accord de gouvernement Arizona, suscite de vives réactions dans le milieu associatif bruxellois.
L’accord Arizona veut intégrer les cures de désintoxication dans les Projets individualisés que les personnes ayant des problèmes d’assuétude signent avec les CPAS. (…)
Dans le secteur de l’aide aux [consommateur de drogues], déjà submergé par les besoins d’aide, la petite idée de l’Arizona passe très mal. D’abord parce que, pour avoir des chances de succès, l’envie d’arrêter de consommer doit venir de la personne. Ensuite, parce que les dispositifs actuels sont sursaturés en raison de l’explosion du phénomène des drogues et de l’augmentation de la grande précarité dans une société qui se désagrège.
(…) François Bertrand est directeur chez Macadam. Son association, qui vient en aide aux jeunes en situation de grande précarité jusqu’à 26 ans, est située à 100 mètres des lieux des fusillades de ces deux derniers jours.
Selon lui, ce sont ces jeunes qui sont les premières victimes : « C’est une armée de réserve pour les mafias ! Aujourd’hui, ils vont chercher des jeunes qui sont complètement rejetés et désaffiliés de tout. Et dont la mort n’inquiète personne entre guillemets et qui sont présents sur le territoire en nombre. Donc les fermetures annoncées de places, Fedasil et autres, ne vont faire qu’accentuer ce phénomène de recours à des enfants-soldats ou des jeunes soldats des réseaux. »
« Ces jeunes« , explique-t-il, « sont exclus de l’accès aux droits sociaux, exclus du titre de séjour et donc, n’ont d’autres possibilités pour générer des revenus que de basculer soit dans le réseau informel de l’économie (Uber, Deliveroo) soit dans la grande criminalité organisée […] Et donc, ils sont des proies faciles, surtout s’ils sont jeunes, voire parfois mineurs. »
Julien Moinil, procureur du Roi, et Ine Van Wymersch, commissaire nationale aux drogues, étaient auditionnés ce mardi 18 février 2025 en Commission Affaires intérieures du Parlement bruxellois. Un constat sévère sur la situation a été partagé, ainsi que certaines mesures du “plan contre le narcotrafic”.
Y a-t-il davantage de drogue en circulation ? Les autorités ont-elles perdu le contrôle face au trafic de drogue ? La police dispose-t-elle de suffisamment de moyens pour lutter contre le trafic de drogue ? La justice est-elle trop laxiste par rapport aux trafiquants de drogue ? Comment agir avec les consommateurs de drogue ? Que faut-il faire avec les salles de consommation à moindre risque ? Voici les questions qui ont été discutées avec Laurent Mathieu et ses invités dans l’émission de la RTBF, QR le débat, du 26 février 2025. Avec notamment la participation de DUNE asbl.
SUISSE • La Commission de la sécurité sociale et de la santé publique du Conseil national (CSSS-N) a validé l’avant-projet de Loi sur le cannabis (LCan) visant à réguler cette substance. Pour le GREA [l’homologue de la féda bxl, en Suisse romande], cet avant-projet va dans le bon sens et tient compte des recommandations des expert·e·s du domaine pour favoriser la santé et la sécurité publique. C’est un jour historique pour la politique suisse en matière de drogues.
Un exemple : le Canada a choisi de reprendre le contrôle du marché du cannabis en créant un marché légal en 2018. « Au Canada, on constate une meilleure protection de la santé des consommateurs, une consommation relativement stable et une baisse de la criminalité. (…) L’an dernier, 72% des personnes qui ont déclaré avoir consommé du cannabis au cours des 12 derniers mois ont indiqué acheter leur cannabis d’une source légale, contre 4% en 2018. »
Le Projet Lama est à la recherche d’un·e assistant·e social·e pour un poste à temps partiel de 28,5h (19h/semaine CDI + 9,5h/semaine contrat de remplacement).
Le Prix de la Prévention du Groupe Pompidou est une occasion unique pour les projets nationaux axés sur la prévention des drogues et des addictions d’accroître leur visibilité et d’être reconnus internationalement pour leur travail. Les candidatures sont ouvertes jusqu’au 30 mai 2025.
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