|
Un mo-nu-ment de la musique classique pour fêter en grande pompe les quinze ans de l'ODN. Voilà ce qui vous attend le 22 novembre au Victoria Hall.
L'occasion de (re)découvrir ce qui suit le cultissime « Tatatataaaaa! » de Ludwig: une écriture dense et aboutie, ramassée en quatre mouvements, qui traverse et marque le corps comme l'esprit.
En guise de prologue, l'ouverture des Noces de Figaro. Et en tête d'affiche, la violoniste Clarissa Bevilacqua, de retour sous la baguette d'Antoine Marguier après le concert ELLES de mars dernier. « Je ne m'attendais pas du tout à être réinvitée si vite. C'est vraiment un honneur de participer à un évènement si important pour l'ODN », nous confie-t-elle avant son arrivée à Genève.
Le Concerto de Brahms qu'elle interprétera tient une place particulière dans son coeur. Dès l'âge de 12 ans, elle a supplié ses professeurs de jouer ce qu'elle considère comme une des œuvres symphoniques pour violon les plus ardues. « Chaque note a une intention», explique-t-elle. « Toute la difficulté est de transmettre ça sur scène. »
|